Pour cette création singulière, l’artiste choisit le nom de Claustra pour symboliser ce qui se dit ou se cache à travers les échanges d’une réunion de famille.

La Claustra est l’espace privé d’un salon / salle à manger d’une maison située dans la forêt des Ardennes. Ce décor invite à prendre place et plonge le spectateur entre réalité, souvenir et surréalisme. Les murs sont évoqués, les objets réels et irréels ne prennent vie que par le sons. Assis au coeur de la scène, le public devient témoin de cette histoire de famille qui se raconte par la présence sonore de la fratrie.
Le non-dit est au centre du propos. Les conversations sont parfois mêlées à des secrets comme chuchotés à l’oreille, qui se révèlent dans l’échange. Il faut parfois prêter beaucoup d’attention pour discerner ce qui ce cache sous les bavardages.

La séance se déroule en deux temps : Un premier temps ou le public assiste à la représentation, et un deuxième temps d’échanges entre les spectateurs et le médiateur.

 


 

Quelques mots de spectateurs

Qu’est ce qu’on partage, quand on ne partage rien, qu’on croit partager tout, que rien n’est partageable…
Parfois l’invisible est éloquent
…comme si le manque d’images extérieures incitait à l’écoute intérieure…
un travail surprenant avec une ambiance sonore à couper le souffle…

 


 

Presse

«L’impression que les acteurs sont là est tellement forte, ils sont autour de nous, on n’en a peut-être jamais été aussi près…» Vivant Mag